La mise en place d'un dispositif d'ouverture des données publiques de la collectivité (open data), le retour pour les usages internes et pour le citoyen
La transparence et l'accès aux données publiques liées aux projets urbains et à la vie locale
Des espaces personnels sécurisés d'archivage et de conservation des données (coffre-fort numérique, carte d'identification et de services professionnels pour les agents…)
La confidentialité, le droit d'accès et de modification des données personnelles (la création d'un registre du traitement des données personnelles)
La déclaration des fichiers à la CNIL, la désignation d'un délégué à la protection des données personnelles
L'application du droit de retrait (droit à l'oubli)
L'application stricte du respect de la vie privée dans le cadre des politiques de données ouvertes (opendata) et particulièrement dans le cas d'approvisionnement par la foule (bigdata, objets connectés…) passif et non volontaire
L'évaluation de la performance publique et des économies d'argent public réalisées grâce au numérique
Le rapprochement des habitants, des élus et des agents par le numérique (débat en ligne, réseaux sociaux dédiés, budgets participatifs…)
La production de contenus par les habitants sur des espaces collectifs en ligne (sites citoyens, sites municipaux, plateformes…)
Une relation (alerte, requêtes…) avec les services urbains de proximité (eau, déchets, voirie…)
L'équipement, l'information, la formation aux systèmes et aux logiciels libres
La formation au numérique des acteurs économiques et des agents territoriaux (nombre de journées)
Des outils visuels de découverte du territoire et des acteurs locaux (annuaires géolocalisés, infographies, applications dédiées, jeux, visites virtuelles, flashcodes…)