En 2014, la Ville de Grenoble a
délibéré sur la libération des données publiques En mai 2018, la Ville a franchi
une nouvelle étape en ouvrant les données culturelles concernant les œuvres et créations dont elle détient les droits (et non pas aux œuvres soumises au droit d’auteur, source de rémunération pour les artistes.)
Les raisons d’ouvrir les données
culturelles sont multiples. Au-delà d’une meilleure visibilité et appropriation des collections conservées dans les équipements culturels, la diffusion et la réutilisation des corpus numérisés favorisent la
transmission des savoirs, la
création et la recherche.
L’ouverture des données
culturelles et patrimoniales s’inscrit également dans une volonté d’élargissement des publics, y compris dans les espaces physiques.