Depuis l'été 2009, l'accès à Internet n'est pas seulement un service rendu à l'usager, mais l'exercice d'une liberté fondamentale, explicitement consacrée par le Conseil Constitutionnel à l'occasion de sa censure de la 1ère loi Hadopi.

Les personnes se rendant dans les médiathèques ne sauraient plus se passer des postes internet en libre-service. Les ordinateurs leur permettent de se connecter au portail "Médiathèques" depuis lequel elles consultent les différents fonds, gèrent les prêts-retours ou obtiennent les derniers commentaires sur les œuvres. Elles s'en servent aussi dans le cadre de recherches en tout genre, pour lire journaux et revues en ligne ou pour accéder à leurs musiques ou vidéos favorites.

Pour cet objet, la direction de la culture a contracté plusieurs abonnements offrant l'accès à des contenus multimédia. Les abonnés peuvent aussi utiliser des suites bureautiques. Rien n'est installé, ces dernières sont donc celles du Cloud proposées par divers éditeurs (Microsoft, Google...).

La loi oblige à sécurises ces postes et à assurer la traçabilité des logs. Jusque 2014, la procédure de connexion en place s’en trouvait alourdie. En 2014, la direction des systèmes d’information s’est saisie du sujet et a simplifié le mode opératoire, tout en maintenant les exigences réglementaires.