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Numérique et consommation responsable, la frise historique

2013

2013 Année la + chaude : impact écologique du numérique

L’envoi de courrier électronique dans une entreprise de 100 personnes équivaut à quatorze allers-retours Paris – New York (13,6 tonnes de CO2) chaque année. Quant aux requêtes Internet, via un moteur de recherche, elles représentent en moyenne 9,9 kg de CO2 par an et par internaute.

Si le monde numérique semble virtuel, les nuisances, elles, sont pourtant bien réelles : que ce soit sur le plan énergétique par l’utilisation d’une quantité considérable de matières premières pour la fabrication des appareils électroniques, ou encore par l’accroissement permanent de la masse de déchets d’équipements électroniques particulièrement polluants.

2018

Consultation citoyenne sur l’économie circulaire

Du 30 octobre au 6 décembre 2017 : la consultation publique en ligne pour une économie circulaire est lancée par la secrétaire d’État à la Transition écologique et solidaire. C’est une plateforme collaborative qui permet de recueillir les attentes et les propositions des citoyen•ne•s sur la feuille de route pour l’économie circulaire, qui sera publiée en mars 2018. La consultation porte sur cinq thèmes : la production et la consommation durables, la gestion des déchats, la mobilisation des acteurs et le cadre financier.

2019

Sobriété numérique

Le 11 juillet 2019, l’association française The Shift Project publie un rapport sur la sobriété numérique centré sur le streaming vidéo, intitulé Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne. La même année, Frédéric Bordage estime que la sobriété numérique est nécessaire afin de réduire l’empreinteécologique. Il prône notamment le recours à la « low-tech » et la limitation des vidéos en streaming. Son collectif GreenIT.fr publie également un rapport intitulé Empreinte environnementale du numérique mondial

 

Par Anna Mélin